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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:32

Un dispositif de médiation pour régler les litiges sera généralisé à partir de juillet 2015 à tous les secteurs de la consommation. Cette décision découle de la directive européenne 2013/11 qui prévoit la généralisation des mécanismes de résolution amiable des litiges entre professionnels et consommateurs dans tous les secteurs d'activité. Carole Delga a reçu les recommandations de Christophe Caresche, député de Paris, sur ce sujet.

Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire, a reçu les recommandations de Christophe Caresche, député de Paris, sur la généralisation de la médiation dans tous les secteurs de la consommation, et annonce la mise en place du dispositif en juillet.

 

Une exigence européenne. La directive européenne 2013/11 sur le règlement extrajudiciaire des litiges de consommation, dite « RELC », prévoit la généralisation des mécanismes de résolution amiable des litiges entre professionnels et consommateurs dans tous les secteurs d’activité, définit les critères qualitatifs auxquels doivent répondre ces procédures et les entités qui les mettent en oeuvre, et prévoit leur évaluation.

En France, les dispositifs de médiation doivent désormais répondre aux exigences européennes. A cette fin, Carole Delga avait demandé, en décembre 2014, à Christophe Caresche, alors rapporteur de la loi portant diverses dispositions d'adaptation au droit de l'Union européenne dans le domaine du développement durable, de présider un comité de pilotage pour la rédaction des projets d’ordonnance et de décret transposant cette directive.

Ces travaux de concertation ont été menés depuis le mois de janvier 2015, associant les organisations professionnelles concernées et les associations de consommateurs, ainsi qu’Emmanuel Constans, médiateur de Bercy et auteur d’un rapport annuel d’activité en mai 2014 à la demande des ministres.

 

Pour le consommateur. Pour le consommateur, la médiation gratuite intervient en cas de litige non résolu avec un professionnel (entreprises, commerçants…), et avant, le cas échéant, une éventuelle saisine de la justice. Le professionnel doit l’informer du médiateur qui le concerne, et ce dernier doit remettre sous 90 jours ses recommandations, que les parties sont libres d’accepter.

 

Pour les professionnels. Pour les professionnels, le recours à un médiateur d’entreprise s’accompagne d’exigences supplémentaires garantissant son impartialité : il doit être désigné par un organe collégial composé d’associations de consommateurs et de professionnels, disposer de moyens autonomes et suffisants, et n’avoir aucun lien hiérarchique avec l’entreprise.

D’une manière générale, seront encouragés à l’avenir tous les secteurs qui privilégient un médiateur sectoriel. Cela permet une plus grande lisibilité pour les consommateurs, et garantit une plus grande homogénéité dans le traitement des litiges. Lorsqu’il existe un médiateur public, une convention avec les médiateurs du secteur d’activité doit organiser la coopération entre eux.

Une autorité unique d’évaluation et de contrôle de la médiation

Enfin, tous les médiateurs seront évalués par une autorité unique d’évaluation et de contrôle de la médiation, composée de magistrats, de personnalités qualifiées, et de représentants des consommateurs et des professionnels. Après vérification du respect des critères de qualité des médiateurs, cette autorité notifiera la liste des médiateurs français de la consommation à la Commission européenne, qui les référencera sur internet.

Cette autorité pourra être saisie par les ministres chargés de l’économie et de la consommation, par l’autorité de contrôle prudentiel et de résolution, par les associations de consommateurs agréées et par les organisations professionnelles en cas de doute sur les pratiques ou les conditions d’exercice des médiateurs.

 

Références. www.economie.gouv.fr

 

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:32

Toute société ayant conclu un contrat portant sur la fourniture d'une prestation de services est tenue de vérifier que son cocontractant s'acquitte de ses obligations de déclaration et de paiement des cotisations dès lors que le contrat porte sur une opération dont le montant global est depuis le 1er avril 2015 d'au moins 5 000 euros (3 000 euros auparavant).

Le donneur d'ordre doit donc demander à son sous-traitant de lui fournir une « attestation de vigilance » délivrée par l'Urssaf et vérifier sur le site de l'Urssaf l'authenticité de l'attestation fournie, grâce au code de sécurité mentionné sur l'attestation.

A noter que cette attestation est valable uniquement pendant 6 mois et doit être renouvelée tous les 6 mois jusqu'à la fin du contrat.

Source. www.apce.com

Références. Décret n°2015-364 du 30 mars 2015, Journal officiel du 31 mars 2015

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:31

Rappel : en cas de cession de parts sociales de Sarl, le dépôt seul des statuts modifiés constatant la cession est suffisant pour rendre celle-ci opposable aux tiers.

Un texte précise les formalités que le cédant ou le cessionnaire peuvent effectuer à compter du 1er juin 2015, pour rendre la cession opposable aux tiers, dans le cas où le gérant n'effectuerait pas cette publication des statuts modifiés.

Par ailleurs, ce texte prévoit la faculté pour les Sarl d'avoir recours à un envoi électronique pour la convocation de l'assemblée des associés.

Source. www.apce.com

Références. Décret n° 2015-545 du 18 mai 2015, Journal officiel du 20 mai 2015

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:28

Chaque année, les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, professions libérales, entrepreneurs individuels et gérants non salariés de société), ou leurs mandataires (experts-comptables, associations et centres de gestion agréés), doivent transmettre une déclaration sociale des indépendants (DSI) à l’organisme de protection sociale dont ils dépendent, le régime social des indépendants (RSI).

Les revenus perçus en 2014 doivent être déclarés :

  • avant le 19 mai 2015 au moyen du formulaire papier ou
  • avant le 9 juin 2015 par internet.

En cas de cessation d’activité en cours d’année, il n’y a pas de DSI à transmettre, l’assuré sera contacté ultérieurement par le RSI pour déclarer ses revenus.

Cette déclaration permet d’établir la base de calcul des cotisations et contributions obligatoires (maladie, maternité, vieillesse, invalidité-vieillesse, allocations familiales, CSG et CRDS) dues pour l’activité indépendante.

Elle est obligatoire, même si le professionnel n’est pas imposable ou exonéré, ou si son revenu est nul. En cas de retard, une pénalité de 10 % est prévue. L’absence de déclaration entraîne la taxation d’office sur une base forfaitaire.

 

En cas de revenu supérieur à 19 020 € en 2013, la déclaration du revenu 2014 doit être obligatoirement effectuée en ligne.

En 2013, la DSI a remplacé la déclaration commune de revenus (DCR).

Source. www.service-public.fr

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:27

Un décret publié au Journal officiel du dimanche 10 mai 2015 vient mettre en cohérence la partie réglementaire du code de commerce concernant les soldes flottants avec les dispositions de l’article 62 de loi 2014-626 du 18 juin 2014 relative à l’artisanat, au commerce et aux très petites entreprises.

Depuis le 1er janvier 2015, les règles concernant le régime des soldes ont en effet changé :

  • les soldes saisonniers (dates fixes) durent désormais 6 semaines en hiver et 6 semaines en été (contre 5 semaines auparavant),
  • les 2 semaines supplémentaires de soldes flottants (dates libres) par an sont supprimées.

À noter : les soldes d’été 2015 commencent mercredi 24 juin 2015 à 8 heures du matin et se terminent mardi 4 août 2015 (sauf exceptions).

 

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:26

Dans notre système fiscal fondé sur la déclaration par les contribuables de leurs revenus, c’est l’examen des éléments déclarés et des informations de recoupement obtenues dans le cadre des dispositions légales et réglementaires qui déclenche la mise en œuvre de contrôles.

Les dénonciations anonymes, reçues par l’administration fiscale, ne sont jamais exploitées. C’est ce qu’avait indiqué le ministre délégué auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargé du budget, dans une réponse ministérielle du 2 janvier 2014.

Les signalements effectués de façon non anonyme peuvent donner lieu à une enquête s’ils font état de faits graves décrits avec précision. Lorsque l’enquête permet de confirmer les faits allégués, d’identifier le procédé de fraude et d’évaluer les enjeux fiscaux, l’administration fiscale peut décider d’engager un contrôle mais la simple dénonciation n’est pas suffisante pour justifier, à elle-seule, le déclenchement d’un contrôle fiscal.

Source. www.senat.fr

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:25

Les soldes saisonniers (soldes d'été et d'hiver) durent 6 semaines et commencent chaque année aux dates fixées à l'article D. 310-15-2 du code de commerce depuis l'entrée en application de la loi de modernisation de l'économie du 4 août 2008.

Les soldes d'hiver débutent ainsi à 8 heures du matin le deuxième mercredi du mois de janvier, sauf si celui-ci tombe après le 12, auquel cas les soldes débutent le premier mercredi de janvier.

Quant aux soldes d'été, ils débutent à 8 heures du matin le dernier mercredi de juin, sauf si celui-ci tombe après le 28, auquel cas les soldes débutent l'avant-dernier mercredi de juin.

Il est précisé que ces dates s'appliquent aux ventes à distance, notamment celles réalisées par internet, quel que soit le lieu du siège de l'entreprise.

Pour 2015, les soldes d’été commenceront le mercredi 24 juin 2015 et prendront fin le mardi 4 août 2015.

Par dérogation, hormis pour les ventes à distance, des dates différentes sont appliquées dans certaines zones reprises sur le site du ministère de l’économie.

Source. www.economie.gouv.fr

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:24

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a publié son rapport d’activité 2014 le 16 avril 2015.

En 2014, la Cnil a enregistré environ 5 825 plaintes (+3% par rapport à 2013). 39% de ces plaintes concernent internet et des problémes d’e-réputation : demandes de suppression de textes, photographies, vidéos, coordonnées, commentaires, faux profils en ligne, etc. Depuis la décision de la Cour de justice de l’Union européenne de mai 2014, qui a renforcé significativement les droits des personnes vis-à-vis des moteurs de recherche, la Cnil a reçu 150 plaintes consécutives à des refus de déréférencement par ces moteurs de recherche. Après internet, les secteurs concentrant le plus de plaintes sont le commerce/marketing (conservation des coordonnées bancaires, opposition à recevoir des courriels publicitaires, etc.), le travail et les ressources humaines (notamment 300 plaintes relatives à la vidéosurveillance), la banque (principalement la contestation de l’inscription au fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers "FICP" ou au fichier central des chèques et des retraits de cartes bancaires "FCC", etc.), et les libertés publiques et collectivités locales (mise en ligne par les collectivités locales de documents publics, etc.).

En 2014, la Cnil a reçu 5 246 demandes de droit d’accès indirect (+22% par rapport à 2013). Ces demandes représentent un total de 7 577 vérifications à mener concernant par ordre d’importance : le fichier FICOBA de l’administration fiscale (recensement des comptes détenus par le défunt sur le territoire national), les fichiers d’antécédents judiciaires de la police et de la gendarmerie (fichier unique "TAJ" depuis le 1er janvier 2014) et les fichiers de renseignement.

 

En cumulant les plaintes et les demandes de droit d’accès indirect, plus de 11 000 demandes individuelles ont été adressées à la Cnil en 2014, auxquelles s’ajoutent 133 000 appels téléphoniques reçus (contre 124 500 appels reçus en 2013).

Source. www.vie-publique.fr

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:09

Pour les particuliers :

02 juin

Date limite de déclaration de revenus en ligne
Date limite de dépôt de la déclaration 2015 de revenus 2014 par internet pour les départements n° 20 à 49 (y compris les deux départements de la Corse).

09 juin

Date limite de déclaration de revenus en ligne
Date limite de dépôt de la déclaration 2015 de revenus 2014 par internet pour les départements n° 50 à 974 et 976.

09 juin

Date limite de déclaration de revenus en ligne pour les résidents étrangers
Date unique.

15 juin

6ème prélèvement mensuel
Pour tous les impôts mensualisés.

30 juin

Date limite d'adhésion à la mensualisation pour 2015
Si vous adhérez par internet, ou auprès de votre Centre Prélèvement Service ou de votre centre des finances publiques (Martinique, Guadeloupe, Réunion), vous avez jusqu'à cette date pour choisir le prélèvement mensuel avec effet dès 2015.
Le 1er prélèvement mensuel interviendra à compter du 15 du mois suivant.
En revanche, si vous adhérez après cette date, la mensualisation commencera en 2016. Dans ce cas, vous devez payer le solde de vos impôts par tout autre moyen de paiement.

Pour les professionnels :

01 juin

Entreprises dont l'exercice est clos le 28 février 2015
Date limite de dépôt de :
- la déclaration de résultats n° 2065 et ses annexes (impôt sur les sociétés);
- la déclaration de retenue à la source n° 2754 pour les entreprises étrangères exploitant un établissement stable en France ;
- la déclaration annuelle CA12 E (TVA - régime simplifié).

11 juin

Entreprises soumises à la TVA
Date limite de dépôt de la DES (déclaration européenne de services) pour les opérations intracommunautaires réalisées en mai 2015.

11 juin

Entreprises soumises à la TVA
Date limite de dépôt de la DEB (déclaration d'échange de biens) pour les opérations intracommunautaires réalisées en mai 2015.

15 juin

Taxe sur les salaires
Date limite de paiement à votre service des impôts des entreprises de la taxe concernant les salaires payés en mai (redevables mensuels) à l'aide du relevé de versement provisionnel n° 2501.

15 juin

Acompte de CFE-IFER
Date limite de paiement de l'acompte de CFE et/ou d'IFER pour les redevables non mensualisés ou n'ayant pas opté pour le prélèvement à l'échéance.

Nouveauté :
Vous ne recevez plus votre avis d'acompte par voie postale.
Vous devez alors consulter votre avis dans votre compte fiscal professionnel avant l'échéance de paiement.

15 juin

Acompte de CFE-IFER : paiement par internet (télérèglement)
Date limite de paiement direct en ligne de votre acompte de CFE et/ou d'IFER pour les redevables non mensualisés ou n'ayant pas opté pour le prélèvement à l'échéance.

15 juin

Taxe sur les surfaces commerciales
Date limite de paiement de la taxe sur les surfaces commerciales pour les établissements existant au 1er janvier 2015 (n° 3350 SD).

15 juin

Retenue à la source - Prélèvement libératoire
Date limite de :
- dépôt de la déclaration de retenue à la source sur les revenus des obligations et autres titres d'emprunt négociables relative au mois de mai 2015 (déclaration n° 2753) ;
- dépôt de la déclaration de revenus de capitaux mobiliers ;
- prélèvement forfaitaire et retenue à la source relative au mois de mai 2015 (déclaration n° 2777).

15 juin

Retenue à la source - Prélèvement libératoire
Date limite de :
- dépôt de la déclaration simplifiée de revenus de capitaux mobiliers ;
- prélèvement forfaitaire et prélèvements sociaux dus à la source si paiement de revenus distribués et/ou intérêts de comptes courants ou comptes bloqués d'associés au cours mois de mai 2015 (déclaration n° 2777-D).

15 juin

Sociétés soumises à l'IS
Date limite de paiement :
- de l'acompte de l'impôt sur les sociétés et de la contribution sociale sur l'IS de 3,3 % à l'aide du relevé d'acompte n° 2571 ;
- du solde de l'impôt sur les sociétés, de la contribution sociale sur l'IS de 3,3 % et de la contribution exceptionnelle à l'IS de 10,7 % à l'aide du relevé de solde n° 2572, si votre exercice est clos le 28 février 2015.

15 juin

Taxe sur les conventions d'assurances
Dépôt de la déclaration n° 2787 et paiement au service des impôts des entreprises de la taxe due au titre des primes émises, des conventions conclues et des sommes échues au cours du mois de mai 2015. Les montants dus supérieurs à 1 500 € doivent être payés par un virement direct à la Banque de France.

15 juin

6ème prélèvement mensuel
Pour tous les impôts mensualisés.

16 juin

Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises
Date limite de paiement du 1er acompte de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises 2015 (n° 1329 AC).

30 juin

CFE-IFER : adhésion au prélèvement mensuel
Vous pouvez adhérer au prélèvement mensuel pour l'année en cours jusqu'à cette date.
Le prélèvement interviendra le 15 du mois suivant l'adhésion.

L'adhésion pour l'année suivante peut être effectuée toute l'année. Seule la date d'effet de l'adhésion varie :
- du 01/01/N au 15/12/N : l'adhésion prend effet en janvier N+1 ;
- du 16/12/N au 31/12/N : l'adhésion prend effet en février N+1(le prélèvement de février N+1 comprendra les mensualités de janvier et de février N+1).

30 juin

Entreprises dont l'exercice est clos le 31 mars 2015
Date limite de dépôt de :
- la déclaration de résultats n° 2065 et ses annexes (impôt sur les sociétés);
- la déclaration de retenue à la source n° 2754 pour les entreprises étrangères exploitant un établissement stable en France ;
- la déclaration annuelle CA12 E (TVA - régime simplifié).

30 juin

TVA - franchise en base
Date limite d'option pour le paiement de la TVA à partir du 1er juin 2015 pour les entreprises bénéficiant de la franchise en base (article 293 F du CGI).

30 juin

Date limite d'adhésion à la mensualisation pour 2015
Si vous adhérez par internet, ou auprès de votre Centre Prélèvement Service ou de votre centre des finances publiques (Martinique, Guadeloupe, Réunion), vous avez jusqu'à cette date pour choisir le prélèvement mensuel avec effet dès 2015.
Le 1er prélèvement mensuel interviendra à compter du 15 du mois suivant.
En revanche, si vous adhérez après cette date, la mensualisation commencera en 2016. Dans ce cas, vous devez payer le solde de vos impôts par tout autre moyen de paiement.

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2 juin 2015 2 02 /06 /juin /2015 17:07

Le service de déclaration des revenus en ligne est ouvert depuis le 15 avril. La date limite de déclaration sur Internet, plus avantageuse que celle de la déclaration papier, dépend de son lieu d’habitation.  Explications.

Plus rapide, plus facile et plus sécurisée, la déclaration des revenus en ligne comporte également un autre avantage : un délai plus long pour effectuer ses démarches. En effet, les personnes qui choisissent de déclarer sur impots.gouv.fr bénéficient d’un report de la date limite de déclaration.

  • Pour les habitants des départements 1 à 19

Vous habitez l’Ain, les Bouches-du-Rhône, le Cantal… ? Vous êtes en zone 1. Vous pouvez déclarer vos revenus sur Internet jusqu’au mardi 26 mai 2015 à minuit.

  • Pour les habitants des départements 20 à 49

Vous résidez en Corse, en Eure-et-Loir, en Lozère… ? Vous êtes en zone 2. Vous pouvez déclarer vos revenus sur Internet jusqu’au mardi 2 juin 2015 à minuit.

  • Pour les habitants des départements 50 à 974/976

Vous vivez dans le Morbihan, à Paris, à Mayotte… ? Vous êtes en zone 3. Vous pouvez déclarer vos revenus sur Internet jusqu’au mardi 9 juin 2015 à minuit.

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